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LA LIBERTE

Thème de la deuxième édition du Festival du LÀC

Le prix du LÀC, créé à l’occasion de la première édition du Festival du LÀC, vise à mettre à l’honneur en Suisse un auteur de talent.

Il a pour originalité de couronner un écrivain dont le thème de l’ouvrage est en lien avec celui choisi pour le Festival chaque année.

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Le Prix des Bienveillantes a été créé en l'honneur du Cercle de lecture éponyme, à l'origine du  Festival du LÀC. Il récompense un ouvrage «coup de coeur» du Comité Fondateur du Festival, choisi dans la première sélection du Prix du LÀC.

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La deuxième édition est portée par le thème de la liberté : se libérer du passé ou de l'emprise de l'autre, se libérer des contraintes pour mieux se retrouver, la privation de liberté, la liberté dans la relation amoureuse, être libre pour suivre sa passion ....

Le jury, composé de 87 lecteurs participants, partage avec vous ses retours sur la sélection 2022.

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octobre 2021
Seule en sa demeure,
Cécile Coulon,
L'Iconoclaste

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novembre 2021
Loin à l'Ouest,
Delphine Coulin,
Grasset

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décembre 2021
Les flammes de Pierre,
Jean-Christophe Rufin,
Gallimard

Laure : « Livre prenant, belle écriture, poétique. Une atmosphère mystérieuse et sombre autour d’une intrigue naissante. Une envie irrésistible d’aller au bout pour connaitre la fin »

Laurence : «Le style est magnifique…la lecture est aisée. […] j’ai apprécié aussi le rôle attribué à la nature et à l'architecture, qui constituent des  personnages plus que des décors…une excellente lecture...»

Raphaelle : « Comme pour l’héroïne, la foret jurassienne s’est glissée en moi morceau par morceau, branche par branche, ronce après ronce. Seule en sa demeure fut pour moi une plongée sensorielle sous-tension... »

Reina. : « Roman à l’ambiance envoûtante et mystérieuse [...]. L’auteur parvient très subtilement à nous faire suivre des sentiers qui aboutissent exactement à l’inverse de ce que l'onn pouvait imaginer. Roman tout en poésie. Véritable coup de coeur!

Soledad : « Cette épopée résolument féministe et passionnante m’a captivée et emportée de bout en bout.»

 

Christine : « Une lecture qui m’a poussée à me documenter davantage sur les théories du féminisme et les problématiques liées au droit et aux libertés des femmes. »

 

Raphaēlle : Loin, à l'ouest fait partie de ces histoires que l'on continue à porter en soi bien après les avoir lues. Vivant, rythmé, passionnant, ce récit est empreint tant de dureté que de tendresse. Très belle fresque féminine, je le recommande !

 

Anouk : Finalement, Georges a surtout été une femme libre dans sa tête, une femme qui a su avoir le courage de vivre la vie qu'elle entendait mener et pas celle que la société voulait lui imposer. N'est-ce pas finalement la plus belle forme de liberté...?

Anne-Christine : « Un hymne à la montagne !

Ce livre incite à l’émerveillement, au lâcher prise, à l’humilité face à de telles merveilles naturelles indomptables.

Nous sommes encordés à une romance vertigineuse dont on ne saura qu’à la fin si elle chutera ou trouvera son équilibre. »

 

Anne-Sophie : « il n’y a pas un livre de Ruffin que je n’ai pas aimé! Celui-ci ne déroge pas à la règle même si c’est un style très différent des livres que j’ai pu lire de l’auteur. J’ai adoré cette histoire d’amour singulière mais qui nous attrape facilement. »

 

Jacques : «  l’auteur en revient toujours au personnage le plus important du roman: la Haute Montagne et les questionnements et tourments qu’elle inspire à ses amoureux et qui finit par les absorber totalement, comme dans un amour éternel. »

Rejane : « L’humain se dépasse en montagne et cette dernière offre une palette d’émotions qui permet aux deux protagonistes pourtant que tout oppose au départ de développer leurs sentiments. Une histoire d’amour à trois ! La montagne comme partenaire !

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janvier 2022
L'Amérique entre nous,
Aude Seigne,
Zoé

Laurence : « j’ai apprécié particulièrement l’aspect « road-trip » : j’adore les Etats-Unis. […] j’ai trouvé ce roman très bien écrit : le style est à la fois journalistique et littéraire, et la structure est bien conçue, avec ses chapitres courts et ses flash-backs qui interrompent le récit principal. »

 

Rejane : «J’ai adoré ce roman. […] Le lecteur voyage et ressent dans sa chair les odeurs et les couleurs de cet immense pays. New York est décrit en quelques lignes de façon magistrale. […] Et puis il y a les réflexions sur les liens, sur l’amour, sur la force des mots. »

Fabienne : « Partir en voyage pour retrouver l’autre, réfléchir sur ses sentiments, son équilibre amoureux… C’est bien vu et bien développé.[…]

Le voyage est essentiel à la réflexion de la narratrice et à son évolution. Un pays aussi vaste et varié que l’Amérique est un contexte formidable pour remettre à plat ses sentiments.]…] Et le lecteur part et découvre avec elle ! C’est très bien écrit, on s’y croirait ! »

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février 2022
Le gosse,
Véronique Olmi,
Albin Michel

Reina : « Roman fort et poignant! Il se lit les larmes au bord des yeux devant tant de violences et de cruauté envers ces pauvres enfants. Profondément émouvant, à la limite de l’insoutenable. Mais  heureusement, il y a une lumière au bout du tunnel.»

Zeina : « Sujet grave traité avec intelligence ; qualité littéraire avérée.

Ce livre m’a beaucoup touchée. Il nous rappelle combien notre société doit rester vigilante envers les personnes fragiles et prévenir la maltraitance.»

Arlette : « Très bien documenté, ce livre nous prend les tripes sur les conditions de ces enfants que l’on ne peut oublier en refermant ce roman!»

 

Sylvie : « On mesure les dégâts physiques et psychologiques endurés par ces enfants privés de liens affectifs familiaux et soumis à des adultes pervers,qui les enferment et les abusent.

L’écriture en toutes petites phrases,en groupes de mots qui se succèdent de façon saccadée reflète le violence ressentie par le petit héros,son angoisse permanente et sa vigilance anxieuse.»

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mars 2022
La patience des traces
Jeanne Benameur,
Actes Sud

Jerôme : « Cette histoire est un subtil questionnement du personnage principal sur ses amitiés et amours passés à la façon délicate d'une "cérémonie du thé". La patience nécessaire à une "réparation" réussie est ce que Simon va découvrir auprès de ses hôtes dans le magnifique et tropical archipel Yaeyama.»

 

Ariane : « Je me suis laissée entrainer dans ce cheminement spirituel très lent et particulièrement envoûtant. »

 

Reina : « Roman d’une grande beauté littéraire et esthétique. Chaque phrase est ciselée et poétique. Une véritable invitation au voyage au travers de la philosophie et l’art de vivre japonais.

Découverte de l’art Kintsugi et de la beauté des tissus Bingata. J’ai été très touchée par cet émouvant récit.»

 

Josiane: « Quel bonheur de retrouver l’écriture poétique, toute en délicatesse de Jeanne Benameur ! […]

Il y a tant de justesse dans son écriture, tant d’élégance, de lumière, de sensorialité. L’art de saisir la beauté des mots, des silences, des émotions. Des phrases courtes tissent autant de «moments d’âmes» dans une histoire portée par des métaphores subtiles. Chaque mot trouve une résonance en nous, fixe son empreinte dans notre esprit. On la suit avec bonheur à l’autre bout du monde dans ce roman solaire et apaisant. Immense coup de cœur !»

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avril 2022

Les ailes collées

Sophie de Baere,

JC Lattès

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mai 2022

Voyages de non-retour

Matylda Hagmajer,

Slatkine

Anne-Claire : « Avec finesse et intelligence, l'auteure décrypte la force des liens amoureux mais aussi filiaux, amicaux et fraternels, leur ambiguïté et leurs non-dits, qui entravent ou qui libèrent. 

J’ai été touchée par son écriture ciselée, pudique, voire poétique. »

 

Fabienne : «Une histoire ancrée dans les années 80 qui résonne encore de nos jours. Une écriture sensible, simple, juste. Un roman qui touche le cœur et qui donne à réfléchir. Ca fait du bien ! »

 

Marie-Anne : «Sophie de Baere a un talent incroyable, elle emporte son lecteur, l’entraîne dans un tourbillon d’émotions, de la plus laide à la plus pure. A travers son roman, on va être terriblement ému, scandalisé, écoeuré, déçu, en colère, touché, blessé, rassuré. Oui, tout ça à la fois.»

Ariane : «Je me suis laissée entrainer par un récit bien construit et par le foisonnement d’émotions et de passions intenses que l’auteur cherche à nous faire partager. »

Jérome : « un roman historique très subtil qui mêle le destin de trois jeunes gens à la fois proches dans leur soif de liberté et différents dans la perception du monde qu'ils traversent.

Matylda Hagmajer nous donne ici, en plus de ces très belles aventures qui se dévorent en quelques heures, une magnifique description du commerce des indiennes et des sociétés qui font le monde de cette fin du XVIIème siècle.»

Aiglonne : Un vrai bijou !! L’auteur nous emporte au XVII siècle sur les magnifiques routes de la soie et du commerce maritime. On s’attache à ces personnages maltraités par la vie et pourtant si touchants par la puissance de l’espoir qui nourrit leur quête personnelle. Nous voyageons à travers les couleurs, les odeurs, les savoir-faire et les coutumes de ces pays extraordinaires. Une écriture fluide et délicate. Une immersion délicieuse. 

Raphaëlle : Un beau coup de coeur pour Voyages de non-retour ! J'ai emprunté avec grand plaisir les pas des protagonistes [...] en route vers l'Inde du XVIIème siècle où se joue le commerce des indiennes. Les personnages sont touchants, les scènes romanesques sont finement documentées rendant la lecture aussi agréable que didactique.

 

MODALITÉS DU PRIX DU LÀC

MODALITÉS DU PRIX DES BIENVEILLANTES

L’ouvrage doit paraître entre juin de l’année précédant la remise du prix et mai de l’année de remise.

Une sélection de huit romans ou essais est réalisée par le comité organisateur du prix du LÀC. Le Jury, composé de près de 90 lectrices et lecteurs issus de Cercles de lectures genevois, de bibliothécaires, de blogueurs et d’amis, élit le lauréat parmi les ouvrages sélectionnés. 

Les précédents Prix du LÀC:

- 2020: La femme révélée, Grasset de Gaëlle Nohant

- 2021: La nuit du premier jour, Albin Michel de Theresa Révay 

L’ouvrage doit paraître entre juin de l’année précédant la remise du prix et mai de l’année de remise.

Le Jury, composé des membres du Comité Fondateur du Festival, distingue un ouvrage parmi les romans ou essais sélectionnés pour le Prix du LÀC. 

Les précédents Prix des Bienveillantes:

- 2020:  La mère morte, Stock de Blandine de Caunes 

- 2021: Le tailleur de Rélizane, Stock d'Olivia Elkaim

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